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Sam' Allen [fiche terminée]

MessagePosté: Ven 2 Sep 2016 12:08
par Samara Allen
Samara Allen
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Profession: Chieuse! Et étudiante en Psychologie.
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Mila Kunis ou Kristen Stewart avec l'accords du Staff.

Description physique :

Jeune femme de vingt quatre ans Sam’ n’est pas ce qu’on peut appeler la « gamine à papa ». Plutôt du genre à faire son possible pour ce faire remarquer elle aime l’exubérance et l’ostentatoire. Samara peut changer de style comme d’humeur, passant d’un gothique noir à des couleurs flashy façon punk. La robe de soirée ne lui fait pas plus peur que le vieux pull miteux, le tout c’est d’être le plus souvent possible en décalage avec son environnement. Sans être petite Sam reste dans la moyenne des tailles avec un mètre soixante cinq et des mensurations agréables et proportionnés, bien qu’un peu maigre dut au fait d’un rythme de vie peu sain. Elle porte de nombreux tatouages qu’elle c’est fait faire aux cours de soirée l’esprit plus ou moins clair, idem pour certains piercing. Son père ne doit pas être au courant de la moitié des altérations physique qu’elle a jugé de faire.

Traits de caractère :
Têtue - Capricieuse - Enfant terrible - Fragile - Naïve - Affectueuse

Sam’ est le genre d’enfant, -plutôt de jeune adulte-, que les parents redoutent d’avoir. La situation familiale ayant largement contribué à rendre cette situation plutôt extrême. Samara à très peu de repères et elle considère, malgré le confort matériel dans lequel elle évolue, que sa solitude et l’absence de ses parents en sont la cause première. Une grande part de ses sentiments sont inconscients mais elle à beau être plutôt naïve elle n’en reste pas moins observatrice et déduis aisément certaines choses dont elle est parfois spectatrice, parfois actrice. Elevée dans un environnement ou tout lui était permis et toléré elle n’a pas changé sa vision du monde qui l’entoure, tout lui est dut. Sous la garde de nourrices et de femme de maison ou de majordomes qui ont tous voulus plaire à son père à travers elle, Samara à gardé ce mauvais défaut de ne pas supporter de ne pas avoir immédiatement ce qu’elle désire. Pire encore que ce côté capricieux c’est son entêtement car lorsqu’elle a une idée il est difficile de l’en détourner. La jeune femme ne s’arrête que lorsqu’elle a terminé de foncer dans le mur. Ainsi elle n’écoute bien souvent qu’une seule voix, la sienne. Mais cette façade peut se fissurer, la jeune femme forte est impulsive laisse place alors à une gamine apeurée par la solitude et blessée dans son âme. Incapable d’en vouloir complètement à ses parents elle pense que si elle n’est pas aimée par eux c’est de sa faute à elle. La paranoïa pourrait d’ailleurs guetter dans un environnement ou la réalité laisserait place à quelque chose d’étrange, mais pour le moment ce n’est pas le cas. De toute façon elle est prête à croire n’importe qui lui porterais un peu d’affection. Malgré son caractère difficile c’est une suiveuse plus qu’une véritable meneuse. Elle recherche dans ses relations celles qui pourraient remplacer le lien désastreux qu’elle entretien avec ses parents. Elle est alors prête à faire n’importe quoi pour préserver ce qu’elle croit pouvoir perdre à chaque instant. Dans ce cas son affection sera sincère, un peu effrayée par l’idée de la perte, et elle fera tout son possible pour préserver ce qu’elle détient.

Histoire :
Une chance ! Naître dans une grande famille à la réputation impeccable, être la fille de l’homme le plus puissant de Las Vegas, de la femme la plus redoutée du business locale. Oh oui, une foutue chance pour la petite Samara. Argent, confort, grande école, grande maison, un con de poney dans un jardin assez grand pour y rassembler dix fois tous les élèves de sa classe et avoir encore assez de place pour y jouer à cache-cache. Du point de vue de ses camarades c’est une chance, du point de vue de n‘importe qui d’autre que Samara d’ailleurs. Mais pour la gamine la chance c’est celles qui ont un père qui les aiment et une mère présente. Elle aurait bien échangé sa fortune, sa cuillère en argent et son putain de poney qu’elle n’a jamais aimé pour un peu d’affection et d’amour de la part de ses parents.

Samara n’aura ni l’un ni l’autre comme figure parentale. Femme de chambre et majordome feront son éducation. Quant à l’école, les choses se délitent rapidement. Finalement une chose se vérifie assez vite, ses parents s’intéressent à elle lorsqu’elle fait une connerie. Convoqués pour une bêtise ils la grondent. Certes ce n’est pas l’amour espéré mais au moins ils sont là, autour d’elle, ils la voient, elle se sent exister. Tenues provocatrices, cigarettes, réponses ou insultes aux profs, fugues, école buissonnière, tout est bon pour leur rappeler que leur fille est là et qu’elle espère qu’ils s’en souviennent. Mais cet état ne dure qu’un temps. Samara s’endurcie et son stratagème devient un mode de vie ou les erreurs se font de plus en plus naturellement et sont aussi plus dangereuses. La cigarette fumée dans les chiottes de l’école devient une trace de cocaïne prises dans celle de la faculté et les espoirs de la petite fille devenue jeune femme éclatent en morceaux. Sauf qu’un nouveau jouet vient s’ajouter à tout cela. Le Maire de la ville à bientôt une fille plus célèbre que lui. Venir la chercher au poste de police ou l’appeler pour savoir quelle idée à la con lui est passée par la tête pour conduire en état d’ivresse à la sortie d’une boite huppée. Voilà une nouvelle façon d’avoir un rapport avec son père, au moins lui.

Quant à la fac de psycho, rien de mieux pour faire chier sa mère, ancien docteur pour qui la psychanalyse est une vaste fumisterie d’illuminés de la vie. Un bon gros doigt d’honneur pour celle qui ne l’a jamais aimé et à fait de l’absence tout un art.

Aujourd’hui Sandy à beau la mettre en garde contre son père Samara n’arrive pas à refuser de recevoir ce qu’elle a toujours désiré, un peu d’attention de sa part. De l’amour ? Naïve, oui, pas à ce point, le divorce récent écorne l’image de l’homme politique. Ce plie au costume de l’homme le plus important de la ville peut-être maquillé par l’attitude d’un bon père. Mais pourquoi refuser ça ? Vrais ou faux Samara ne demande que ça. Et si Sandy à raison, elle verra bien au dernier moment ce qui arrivera, elle n’a pas envie d’envisager la souffrance, seul le regard de son père l’importe maintenant.


Re: Sam' Allen

MessagePosté: Ven 2 Sep 2016 16:57
par Samara Allen
Fiche terminée?