Sassy de Verville - PNJ des Infiltrés - Proche de Sariel

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Sassy De Verville
285 ans - Clan des Infiltrés - Apparence: 26 ans
Avatar: Nicole Kidman


Caractère

ImageAh, Sassy, qu'elle femme ! On l'aime ou on là déteste, et même si on la déteste, c'est parce qu'on n'arrive tout simplement pas à l'aimer à sa juste valeur. On ne peut pas dire d'elle qu'elle est gentille, ou aimable. Vu tout ce qu'elle à vécu, il est normale de la voir méfiante, distante et froide. Rien n'arrive pour rien et elle s'est convaincu que son bonheur, ou ce qui pouvait s'approcher le plus près de cette illusion, dépendait seulement d'elle. Up and Down, noir ou blanc, aucune demi mesure. Elle ne connait pas la grisaille et son impulsivité fait d'elle une créature sympathique et détestable, tout à la fois.

C'est une jeune femme diaboliquement intelligente. Une dure existence a forgé en elle une perspicacité effrayante, une intuition déroutante et un parlé franc parfois dérangeant. Elle en a rien à foutre de vous, jusqu'à preuve du contraire. Si vous voulez l'approcher, c'est indéniablement pour la fourvoyer et jouer l'ingénue simple d'esprit pour arriver à ses fins ne la dégoute pas. Au contraire, faire croire d'être autre chose de ce qu'elle est, est un jeu sympathique et distrayant.

Éternelle gamine, au désir insatiable, Sassy semble être un gouffre sans fin. Probablement victime de blessures béantes mais invisibles, la dureté de son caractère, la légèreté de ses mœurs et son humeur tranché cache un désir d'être vraiment aimé. S'accrochant parfois à une fidélité malsaine et des relations troubles, jamais elle ne pourrait se le permettre. L'amour c'est pour tout ces cons insouciants qui souhaites souffrir inutilement . . . n'est-ce pas ?

Description physique

ImagePourquoi faire exception à la règle quand un corps aussi majestueux que le sien lui permis de ne pas mourir de faim, de gagner des tonnes d'argent et d'envouter tout ce qui tombe entre ses jambes ? Sassy est belle. Non, elle est magnifique. Dotée d'une chevelure abondante, blonde ou rousse (selon la mode) et bouclé, elle fait des jalouses et dérange les fétichistes capillaire. Son regard est perçant. Il transcende au plus profond de votre âme, il fait vibrer vos cordes sensibles. Quand elle vous fixe, un océan bleu et calme semble vouloir vous envahir, vous envouter, voler d'un seul clin d'œil ce qui vous reste de bonnes intentions et abuser de son charme sans vergogne. Plus grande que la moyenne, ses longues jambes juste assez musclées semblent sans fin. Des bras fins, des mains douces et agiles, une poitrine bombée et tendre, Sassy à un corps pour se faire aimer. Des lèvres pulpeuses et rose, comme une poupée ; oui, une poupée de porcelaine, à la peau douce et pâle, dont on aimerais ne jamais retirer les mains. On pourrait dire qu'elle est née pour être désiré, sortie tout droit d'un fantasme occidentaux, séduisante, sexuelle... froide.



Histoire
Avant, il y avait ...

" Qu'est-ce qu'il y avait avant Asmodée, avant Sariel ? Tout semble comme un songe lointain. Je n'ai que, voyons, 285 ans ? C'est bien peu à comparer de tout ces autres nephilim éveillés depuis bien plus longtemps que moi, mais malgré tout, j'ai l'impression d'être née dans les bras viril d'Amsodée, d'être enfin devenue qui je suis sous les coups de bassin de son frère Sariel, jamais avant je n'aurais pu en dire autant. Ils m'ont éveillés, ensemble, les deux frères âgés de milles années . . .

Je suis née en 1727. En fait, c'est en 1727 que j'aurais du mourir dans le fond d'un caniveau. Par un excès de noblesse de ma génitrice, je me retrouva, à peine à quelque jours de vie, dans un de ces miteux orphelinats de quartier. Troisième erreurs de la famille, troisième filles et dernières nées d'une relation fade, sans amour et ou les seuls besoin physique commun finissaient par une grossesse dérangeante, chiante et surtout indésirable. Deux garçons, deux filles. La troisième était de trop et se fut presque un mauvais sort qui me garda en vie. Une bouche de plus à nourrir, pas le temps, pas le goût et surtout pas le désir, c'est par une journée enneigée, sous la tempête, à quelques minutes d'une pneumonie que dans un panier, sans nom, sans famille et sans amour, je me suis retrouvée dans un des pires endroits du monde. Il n'y a rien de plaisant dans un orphelinat. Surtout pas quand on est une jeune fille. Les petits garçons n'étaient pas des plus choyés non plus, mais les jeunes filles étaient d'autant plus nombreuses qu'inutiles. Et c'est ce discours qu'on me répéta tout au long de ma jeunesse.

Je ne sais pas pourquoi, mais on m'a toujours donné trop d'attention. Déjà à mon plus jeune âge, je me suis d'abord distinguée par ma grandeur, puis ma beauté et ensuite, ma perspicacité. Combien de fois je me suis retrouvée sous les mains d'un prête plus qu'avenant, me répétant à l'oreille d'être sage, que j'étais la plus belle des jeunes filles et qui si j'étais gentille, je pourrais avoir tout ce que je souhaitais... On m'a vite mise à part, les autres filles me détestaient et les quelques amitiés étaient brèves et finissaient toujours mal. Ce n'étais pas de ma faute, je savais ce que je devais faire pour avoir ce que je voulais. Je devais piler sur mon orgueil et faire plaisir à ces hommes de dieu pour me sortir de se trou perdu puant.

Et après quelques années de courbettes, je pu enfin sortir de l'orphelinat, promettant de me rendre dans une église, à quelques lieux de là, pour me mettre au service de dieu, faire vœu de chasteté et me vouer corps et âme au dieu chrétien.

Ah, ce qu'ils m'ont cru ces stupides goujats.

À peine la première inspiration de l'odeur de ma liberté que je pris le chemin inverse, marchant à m'en faire saigner les pieds, pour trouver un endroit où je pourrais faire ce que j'avais apprit le mieux à effectuer : Me servir de mon corps pour obtenir tout ce que je voulais.

Est-ce que j'avais un don ? Je peux affirmer que oui, mais ne connaissant pas d'autres nephilim, j'ai cru que c'était ainsi pour tout le monde. J'ai toujours eu des prédispositions depuis la toute premières fois. Je savais comment les utiliser, je savais quand en usé et surtout, ce fut cette immortalité qui m'aida le plus. Les années passèrent et m'a beauté ne diminua pas. Rapidement, je fut admise dans les plus hautes sphères de la prostitution. On entendait mon nom, on parlait de mes talents, de ma beauté, de ma discrétion ainsi que mes services des plus appréciés. Avec le temps, on m'engageait pour ma seule présence avenante; on payait des surplus pour m'avoir à ces côtés, pour m'inviter dans des soirée salaces et très classes. Je rencontrais des dignitaires, des ducs, des personnages du clergé, des gens bien nantit, des veuves riches, des fils de baron, des maharadja venu de contrées que je ne pouvais même pas m'imaginer.

Je suis devenue Miss Sassy ; on me jalousait, on me vénérait et en faisant ce que je savais faire de mieux, je me retrouva avec une bonne cagnotte, une bonne réputation et les portes s'ouvraient devant moi. Je faisais partie de la noblesse, je m'habillais avec soin, je prenais soin de mon corps comme un temple, on m'offrait des cadeaux, des présents et pour ça, tout ce que j'avais à faire, c'était de sourire, ouvrir mes cuisses et les laisser me ramoner pendant quelque instant. J'avais pourtant pas perdu mon caractère froid, franc et mystérieux. Ils pouvaient avoir mon corps, mais jamais mon cœur. Ils pouvaient me prendre, sans jamais toucher mon âme. C'était un boulot et quelque temps avant cette rencontre fatidique, je me voyais plus mesquine, disant tout ce qui me passait pas la tête, riant de l'infirmité de certain tout en complimentant les prouesses de d'autre. On riait avec moi, tandis que j'en blessait d'autres. J'en avais rien à foutre. J'avais sordidement tout ce que je souhaitais.

Image
Maintenant, il y a ...

J'avais l'habitude d'attirer l'attention, mais quand leur regards se posèrent sur moi, j'ai ressentit quelque chose d'indéfinissable. D'abord d'être superbe physiquement, d'une apparence soigné et d'une odeur agréable (ce qui n'était pas le cas de tout le monde au 18e siècle) c'est leurs yeux d'un bleu intense qui m'hypnotisèrent carrément. Je savais comment attirer des hommes dans mes filets et ces deux là semblait être un bon coup.

Si j'avais su.

À peine avaient t'ont discutés ensemble qu'ils m'attirèrent dans une auberge, où ils semblaient avoir réservé la plus grande chambre. C'était deux frères, je ne comprenait pas à quel point le mot « frère » prenait ou non l'importance en se moment, mais dans tout les cas, je m'en voyais charmée. J'allais débuter mon éternelle refrain, mon petit manège libidineux quand Asmodée m'arrêta net. Je sentis une panique sourde monter en moi ; et si c'était des fous furieux ? Après tout, j'aurais bien mérité de mourir violée et assassinée mais ce n'était pas le cas. Tout contre Asmodée, Sariel s'était approché à son tour, derrière moi et se fut le début d'une débauche luxuriante qui ne semblait ne jamais prendre fin.

Et ce fut une révélation.

J'avais toujours été une nephilim et maintenant je découvrais réellement toute l'étendu de ces pouvoirs. Les deux nephilim puissants, si différent l'un de l'autre ne m'expliquèrent pas grand chose, concentrés à entretenir l'état jouissif, simple et purement primaire qui s'était installé dans notre trio. C'était la première fois qu'on me faisait la chose dans le seul but de me donner du plaisir. Reconnu pour leur tendances parfois égoïste, ces deux là avaient décidé de partager et approfondir ce lien fraternel.

De nombreuses femmes passèrent dans notre harem inventé et je fis l'amour avec presque chacune d'elles, sous le regard satisfait des mes deux chefs. Je crois que j'aurais pu rester dans se mode de vie, dans les bras rassurant d'Asmodée, sous la protection du sombre Sariel ; Je ne sais pas si je les aimaient, mais dans tout les cas, j'étais bien. Fumer, baiser, jouir et manger, à trois, dans une symbiose presque parfaite . . . si seulement ça ne s'était jamais arrêté.

J'étais toute dévouée aux deux frères. Pendant cette période, je me rendit compte que Sariel me ressemblait. Un peu trop à mon goût; souffrir la vue d'un impulsif gamin insatiable me torturait par cette intuition naturelle qui s'était installé entre nous deux. Je gardais mes distances, mais il m'attirait comme un aimant. Je le haïssait de me ressembler, mais j'étais en pâmoisons devant sa force de caractère et sa détermination. Il me fait l'effet d'un gourou. Je lui serais à jamais dévoué mais, il me frustre. Avoir près de soi une personne qui possède le même caractère chiant que soi à quelque chose de dérangeant et d'incroyablement morbide. Ce n'est pas de l'amour, mais du respect. . . et de toute façon, je ne crois pas qu'il est autre chose pour moi que des sentiments quasi paternaliste. Il est mon chef . . . que serais-je sans lui?

Et lui sans moi ?

Pour Asmodée, c'était autre chose. Cela à toujours été autre chose et c'est pourquoi je ne l'es pas suivit quand se fut le temps de nous quitter. Je crois que je n'aurais pas supporté. En fait, je penses même que, comme une idiote, j'ai cru qu'il aurait été mon deuxième chef. Il était avenant, beau, mais j'avais l'impression qu'il y avait autre chose. Quelque chose de plus fort ? De mieux en tout cas. J'aurais dû lui demander, mais je n'a pas osée. L'amour c'est pour les faibles et je me suis refusée à simplement me le permettre. Après tout, nous nous sommes jamais revu depuis ces mois parfaits. Cela prouve bien que j'avais raison, il n'avait rien pour moi, aucun sentiments, ni pensées … c'est le passé et même si … ah non ! N'essayez pas de me faire dire que je pense à lui trop souvent pour avoir l'esprit en paix, parce que, ce n'est pas le cas, bon !

Je rejoignis donc le clan des Infiltrés. Avait-je d'autre choix ? Jamais je ne m'aurais permise de suivre Asmodée et Sariel me permettait de le suivre malgré mon attitude. Mon initiation ne fut pas sans douleur. Je n'ai jamais vécu quelque chose d'aussi cauchemardesque et quand mon patron m'accueillit après l'épreuve, ma dévotion fut encore plus grande: Il venait de me faire vivre le pire pour me faire réaliser tout ce que je savais au plus profond de moi même, et tel mon sauveur, il me le révélait dans des souffrances innommables.

Étrangement, je me sentit comme son troisième bras. Il ne me disait pas toujours tout et ne m'emmenait pas partout où il allait. J'étais une infiltré à temps plein, mais je ne faisais pas partie de tout ces secrets. Par contre, entre nous deux, il n'y a pas de faux semblant. Je crois que l'on cohabite, mais il y a quelque chose qui nous énerve. Je suis bien la seule à pouvoir le traiter comme je le fais et je dois avouer que j'y prend un malin plaisir, mais jamais il n'aura de nephilim femelle plus dévouée que moi ; je pourrais mourir pour lui pour le protéger. Ce qu'il veut, c'est ce que je veux et même si, tel un troisième bras, je suis parfois inutile, toutes les autres fois où je le ne serais pas seront marquante.

Et un jour il me remercira. "

Pachad...

Si je pouvais effacer de ma mémoire cette période, je le ferais. Se retrouver soudainement dans un endroit inconnu, apocalyptique, l'enfer, sans y être préparée, c'est atroce. De plus, vivre en mode survie, il n'y a rien de plaisant la dedans. Toujours aussi près de lui, j'ai subit sa douleur, sa tristesse. Sans pouvoir rien faire, j'ai été témoins de son désarrois, de sa faiblesse, comme celle des autres. Nombreux d'entre nous moururent et nous étions désarmés face à se sort. Peut-être que mon initiation au clan des infiltrés y était pour quelque chose, mais il semble que j'acceptais se destin comme il se devait. C'était dure, souffrant, vivre dans cette terreur, se cacher et survivre, mais physiquement, j'avais vécus bien pire. Je connaissais le manque d'Orgone, je connaissais cette faim, ce manque d'énergie. Était-je la mieux placée pour vivre en ces lieux merdique ? Aucun Nephilim mériterais d'y être, mais vers la fin, désespérée, je cru presque que nous le méritions peut-être...

... J'étais là quand Sariel rencontra l'Empreur Mendiant. Quand celui-ci demanda la tête de l'insoumis. Je crois que jamais je n'ai eu aussi peur. Une vraie peur. Surtout de le voir si confiant. Que suis-je si mon propre Maître n'est pas là pour me protéger ?

Je sais qu'il doit remplir son mandat, sinon il sera tué. Ce maudit pacte signé pour nous sortir de Pachad. Juste à y penser, j'ai l'impression de vouloir vomir tout le risque que cela comporte mais, comme toujours, je le garderais pour moi et serait fidèle à Sariel.

Jusqu'au bout.
Jusqu'à la fin.



Pouvoirs personnels
Sainte Parole : Tel un messie, tous les mots qui sortiront de sa bouche sous l'effet de se sort seront endossés comme la pure vérité par ceux qui l'entendrons. Se pouvoir est effectif à la porté de la voix. Si vous hurlez, vos paroles seront cru par une plus grande quantité de gens. Par contre, il ne fonctionne pas par le chemin des ondes ou avec un amplificateur. Le chemin de la voix vers l'appareil auditif doit être naturel pour être fonctionnel. Fonctionne sur la plus part des humains par contre, l'effet diminue avec la quantité de gens ( trop de personne = moins effectif) et l'âge du nephilim ( très vieux = moins effectif) .

Pouvoirs de clan
Eclipse / Le pouvoir de Sariel :L’éclipse a en fait notre fonction première de cacher notre aura aux Nephilim et au Elohim. Il est impossible de savoir si nous sommes Nephilim ou Humains.
La télépathie : Le Nephilim peut lire les pensées de sa cible. Utiliser ce sort contre un congénère Nephilim est difficile et épuisant.


Voleuse d'âme: Hämndlystna Systrar / Les soeurs vengeresses.

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Descriptions: Les voleuses d'âme de Sassy sont des alliées chères, obéissant aux ordres de son possesseur. Habituellement, Hämndlystna Systrar prend la forme de deux bagues d'argent aux dessins travaillés et aux détails minutieux, mais une fois dégainée pour la protéger, elles prend l'apparence d'un poing américain massif orné de grands pics argentés, perçants et mortels, sur chacune de ses mains.
Pouvoir:
Parfum aphrodisiaque : A tout moment, le nephilim peut laisser émaner de lui un parfum spécial, un parfum invisible à l’œil mais que le nez ne peut ignorer. Ce parfum rend la personne visée dépendante des attentions du nephilim, prise d’un désir sauvage. L’effet s’estompe au fil des heures mais il faut attendre 24h pour qu’il disparaisse complètement.

Phobie: Coulrophobie ( AH QUE JE DÉTESTE LES CLOWN ! )
Modifié en dernier par Sassy De Verville le Jeu 11 Sep 2014 23:50, modifié 7 fois.
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Modifié en dernier par Sassy De Verville le Jeu 13 Nov 2014 03:21, modifié 2 fois.
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